Les premières semaines – Voir le piège
On va regarder ensemble comment le mental transforme “la conscience” en quelque chose à trouver, à atteindre, à ressentir. Et pourquoi c’est impossible.
On va chercher ce “je” dont tu parles tout le temps. “Je veux ça”, “je suis fatigué”, “je ne comprends pas”. Mais… c’est qui ce “je” ? Vraiment. Pas intellectuellement. On va regarder ensemble.
Au milieu du programme…
Chaque jour, des pensées te disent qui tu es. “Je suis quelqu’un de stressé”, “je suis pas assez bon”, “je suis cette personne avec cette histoire”. On va investiguer chacune de ces pensées. Pas pour les arrêter. Juste pour voir… est-ce que c’est vrai ?
Ces moments où ton mental devient blanc, où tu cherches et tu trouves rien ? Tu sais, ces moments que tu rejettes en pensant “non, ça peut pas être ça, c’est trop simple” ? On va y rester. Parce que c’est exactement ça.
“La meilleure façon de se voir est de ne rien voir du tout.” – Douglas Harding
Les dernières semaines – Vivre depuis là
Comment tu fais quand quelqu’un te trigger ?
Quand la peur arrive ?
Quand tu veux quelque chose vraiment fort ?
On va utiliser tout ça. Pas pour devenir quelqu’un de “zen” qui ne ressent plus rien. Mais pour voir que toutes ces émotions, tous ces trucs… ils se passent, mais toi (la conscience), tu n’es jamais touché.
“Tu n’es pas une goutte dans l’océan. Tu es l’océan entier dans une goutte.” – Rumi
Dans ces premiers 2 mois d’investigation intense il y aura aussi un appel Questions-Réponse par mois et 1 Satsang par semaine où je vais donner un enseignement autour d’un sujet précis et on fait une méditation sur ça.
Après les 2 mois – Parce que ça continue
On continue nos Satsang une fois par semaine, on se retrouve en groupe. On partage ce qui se passe, les moments où on se perd, les moments où on voit clair. C’est précieux de voir qu’on n’est pas seul dans cette enquête.
Et une fois par mois, une session où tu peux poser toutes tes questions. Les trucs qui coincent, les doutes, les “mais attends, j’ai pas compris ça”…
Parce que rentrer chez soi, ce n’est pas un événement ponctuel. C’est… la vie.